mercredi 6 juillet 2011

Opération déforestation!


Les chroniques d’une fraîchement divorcée… Épisode #1

Bon ça y est! J’ai malheureusement atterrie sur un serpent et me voilà de retour à la case départ. Pas facile, j’avouerais, même si c’est toujours moi qui jette les dés et malgré qu’il s’agit de ma décision. Je ne sais pas pourquoi, je voyais grand en cette relation. Mais bon, avouez, qu'en vieillissant, les ruptures deviennent de plus en plus difficile. Est-ce une question de temps qui court, l’ascension vers la trentaine ou tout simplement une pression de la société? OK! Le journal prend une tangente différente, mais je vous assure, qu’au final il y aura toujours de bons conseils beautés. Par contre, n’est-ce pas un exutoire le concept du blog?

Alors, comme toute fraîchement divorcée, « la » préoccupée doit s’occuper. Les premiers jours fût l’apogé de ma délivrance : de l’énergie à revendre, une succession d’invitations et une multitude de contrats les plus intéressants les uns que les autres. J’avais réellement l’impression d’être, Carrie, dans Sex and the City. Mais, lorsque la solitude nous surprend, on est sous l’emprise d’une certaine forme d’angoisse et de questionnements sur la peur de l’engagement. Bref, je dois vivre, en quelques sortes, mon deuil, moi aussi. Donc, je me suis dévasté quelques jours, essayant de vivre sur de faux espoirs et de vieux rêves de Cendrillon. Je me suis même concocté un nouveau régime de vie que j’appelle sarcastiquement le menu de Thanatos: café, alcool, cigarettes, Advil.  Ne faut-il pas toujours toucher le fond pour mieux remonter?

Mais là, je vous avouerais que je ne suis pas fière de moi du tout. Premièrement, j'ai les cheveux sales depuis une semaine. Il faut dire que je déteste me laver les cheveux, mais cela, c’est une autre histoire. Deuxièmement, je fais la grève du maquillage et,finalement, ma fourrure a commencé à épaissir. Stéphanie! Ressaisie-toi...

Aux grands mots, les grands moyens. Je saute sous la douche, armé de mon rasoir et de mon shampoing. En sortant, je croise mon reflet dans le miroir. Merde, j’ai des sourcils sur les joues et une moustache molle. J’ai l’air d’un adolescent, il manque seulement les boutons. Je crois que la déchéance a assez duré. Direction Beauté Dee’s, 1014 rue Jean-talon ouest, pour tester l’épilation au fil. L’épilation au fil communément appelé le « threadind » gagne de plus en plus en popularité. Il s’agit d’une méthode rapide, très peu coûteuse, 3$ pour les 2 sourcils, qui vous donnera les plus beaux sourcils de votre vie. 


Aussi appelé épilation indienne, cette technique ancestrale est issus de la tradition orientale où les femmes apprenaient à utiliser un simple fil en coton très résistant pour s’épiler.  Ce fil est positionné entre les doigts de la main et forme comme une petite chaîne. L’autre main tien, évidemment, la bobine. La chaîne est apposée sur la peau et c’est à l’aide d’un mouvement avec la bouche et de la main droite que le poil parvient à être extirpé. Un geste précis qui enlève le poil à la racine et qui nécessite une certaine dextérité. Résultat parfait à tout coup. 

Une image vaut mille mots. Alors, voici un petit vidéo. À la demande générale, je tiens à préciser que le vidéo commence officiellement après une minute.


Donc, maintenant les filles, jetons les dés...

On a tous 3$ facile à budgéter. Alors, jetez vos pinces à épiler par la fenêtre et allez faire la file au salon de beauté Dee’s. Pour ma part, je vais essayer de me ressaisir, je vous le promets. Mais, je vais aussi essayer d'approfondir mes recherches sur les concepts relationnels et vous dénicher d'autres bonnes adresses à Montréal. Détails croustillants à venir...

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